Edit : le problème d'origine est -hard à approximer lorsque k = 1 où n désigne le nombre d'ensembles.n1 - ϵk=1n
Le dual d'un hypergraphe est obtenu en échangeant des sommets avec des arêtes et en préservant les incidences. Il est plus facile de comprendre le problème lorsque nous notons qu'un hypergraphe a une dimension VC 1 si son double est sans croix (pour tous les dans A , au moins l'un de P ∩ Q , P ∖ Q , Q ∖ P , ( P ∪ Q ) c est vide).P,QAP∩Q,P∖Q,Q∖P,(P∪Q)c
Par dualité, le problème d'origine (pour ) est équivalent à, étant donné un hypergraphe ( V , S ) , trouver une taille maximale U ⊆ V avec ( U , { S ∩ U ∣ S ∈ S } ) sans croix.k=1(V,S)U⊆V(U,{S∩U∣S∈S})
En fait, ce problème (double) est très difficile , même si tous les ensembles de ont une taille 2: il est un graphique et nous sommes à la recherche d'une taille de vertex taille max dont sous - graphe induit qui ne ne contient aucun chemin de deux bords ( il n'est pas difficile de voir que c'est la seule façon dont une paire croisée peut se produire, en supposant que le graphique a au moins 4 sommets). Mais cette propriété est héréditaire et non triviale et nous pouvons donc utiliser un résultat de Feige et Kogan pour montrer la dureté.S
Réponse originale
k=1SSn1−ϵΘ(n)
AP,QAP∩Q,P∖Q,Q∖P,(P∪Q)c
G=(V,E)H=(X,S)X=V⊎E⊎{0}0vGTvS
{v}∪{e∣e is an edge incident to v}.
{Tv}v∈UUG
Mais pour le problème d'origine (primal), il semble qu'il faille encore réfléchir ... semble intéressant!