Vous pouvez le prouver avec la méthode de Stein, mais c'est discutable si la preuve est élémentaire. Le côté positif de la méthode de Stein est que vous obtenez une forme légèrement plus faible de limites Berry Esseen essentiellement gratuitement. De plus, la méthode de Stein n'est rien de moins que de la magie noire! Vous pouvez trouver une exposition de la preuve dans la section 6 de ce lien . Vous trouverez également d'autres preuves du CLT dans le lien.
Voici un bref aperçu:
1) Démontrer, en utilisant une simple intégration par parties et la densité de distribution normale, que pour tout différentiellement continu si s A est N ( 0 , 1 ) distribué. C'est plus facile à montrer Une normale implique le résultat et un peu plus difficile à montrer l'inverse, mais peut-être peut-on le croire.EF′( A ) - XF( A ) = 0UNEN(0 , 1 )UNE
2) Plus généralement, si pour chaque f différenciable en continu avec f , f ′ borné, alors X n converge vers N ( 0 , 1 ) dans la distribution. La preuve ici est encore une fois par intégration par parties, avec quelques astuces. Plus précisément, nous devons savoir que la convergence dans la distribution est équivalente à E g ( X n ) → EEF(Xn) - XnF( Xn) → 0FF, f′XnN( 0 , 1 ) pour toutes les fonctions continues bornées g . Fixant g , il est utilisé pour reformuler:Eg( Xn) → Eg( A )gg
Eg( Xn) - Eg( A ) = EF′( Xn) - XnF( Xn) ,
où l'on résout pour utilisant la théorie de base de l'ODE, puis montre que f est agréable. Ainsi, si nous pouvons trouver un si joli f , par hypothèse, le rh va à 0, et donc le côté gauche aussi.FFF
3) Enfin, prouver le théorème central limite pour oùXiest iid avec la moyenne 0 et la variance 1. Ceci exploite à nouveau l'astuce de l'étape 2, où pour chaquegnous trouvons unftel que:Yn:=X1+⋯+Xnn√Xigf
Eg(Xn)−Eg(A)=Ef′(Xn)−Xnf(Xn).