Je ré-analyse les données d'un collègue. Les données et le code R sont ici .
Il s'agit d'une conception 2x2x2x2x3 complètement intra-SS. L'une des variables prédictives cue
, est une variable à deux niveaux qui, lorsqu'elle est réduite à un score de différence, reflète une valeur pertinente pour la théorie. Elle s'est auparavant effondrée cue
à un score de différence dans chaque sujet et condition, puis a calculé une ANOVA, produisant un MSE qu'elle pourrait ensuite utiliser pour les comparaisons prévues du score de différence moyenne de chaque condition par rapport à zéro. Vous devrez me faire confiance qu'elle ne pêchait pas et avait en effet une bonne base théorique pour faire les 24 tests.
J'ai pensé voir s'il y avait une différence en utilisant des modèles à effets mixtes pour représenter les données. Comme indiqué dans le code, j'ai adopté deux approches:
Méthode 1 - Modéliser les données sous la forme d'un plan 2x2x2x2x3, obtenir des échantillons a posteriori de ce modèle, calculer le cue
score de différence pour chaque condition dans chaque échantillon, calculer l'intervalle de prédiction de 95% pour le score de différence de repère dans chaque condition.
Méthode 2 - Réduire cue
à un score de différence dans chaque sujet et condition, modéliser les données sous la forme d'un plan 2x2x2x3, obtenir des échantillons a posteriori de ce modèle, calculer l'intervalle de prédiction de 95% pour le score de différence de repère dans chaque condition.
Il semble que la méthode 1 donne des intervalles de prédiction plus larges que la méthode 2, avec pour conséquence que si l'on utilise le chevauchement avec zéro comme critère de «signification», seuls 25% des scores de cuing sont «significatifs» selon la méthode 1 tandis que 75% des scores de cuing sont "significatifs" selon la méthode 2. De manière notable, les profils de signification obtenus par la méthode 2 sont plus proches des résultats originaux basés sur l'ANOVA que les modèles obtenus par la méthode 1.
Une idée de ce qui se passe ici?