Je sais qu'il peut être prouvé que PROLOG est Turing-complete en construisant un programme qui simule une machine de Turing comme ceci:
turing(Tape0, Tape) :-
perform(q0, [], Ls, Tape0, Rs),
reverse(Ls, Ls1),
append(Ls1, Rs, Tape).
perform(qf, Ls, Ls, Rs, Rs) :- !.
perform(Q0, Ls0, Ls, Rs0, Rs) :-
symbol(Rs0, Sym, RsRest),
once(rule(Q0, Sym, Q1, NewSym, Action)),
action(Action, Ls0, Ls1, [NewSym|RsRest], Rs1),
perform(Q1, Ls1, Ls, Rs1, Rs).
symbol([], b, []).
symbol([Sym|Rs], Sym, Rs).
action(left, Ls0, Ls, Rs0, Rs) :- left(Ls0, Ls, Rs0, Rs).
action(stay, Ls, Ls, Rs, Rs).
action(right, Ls0, [Sym|Ls0], [Sym|Rs], Rs).
left([], [], Rs0, [b|Rs0]).
left([L|Ls], Ls, Rs, [L|Rs]).
Cependant, je me demande quelles parties du langage PROLOG on pourrait supprimer (en particulier les symboles de fonction, la surcharge de clause, la récursivité, l'unification) sans perdre l'intégralité de Turing. Les symboles de fonction eux-mêmes sont-ils Turing complets?