Si est mesurable, alors
vaut pour -aa . En particulier, si est indépendant de , alors
vaut pour -aa .g
P(g(X,Z)∈A∣X=x)=P(g(x,Z)∈A∣X=x),A∈B(R)
PXxZXP(g(X,Z)∈A∣X=x)=P(g(x,Z)∈A),A∈B(R)
PXx
Cela repose sur le résultat général suivant:
Si et sont des variables aléatoires et dénote une probabilité conditionnelle régulière de donnée , c'est-à-dire , puis
U,TSPS(⋅∣T=t)ST=tPS(A∣T=t)=P(S∈A∣T=t)
E[U∣T=t]=∫RE[U∣T=t,S=s]PS(ds∣T=t).(*)
Preuve : La définition d'une probabilité conditionnelle régulière garantit que
pour mesurable et intégrable . Maintenant , nous pour un ensemble borélien . Puis
avec
Depuis
E[ψ(S,T)]=∫R∫Rψ(s,t)PS(ds∣T=t)PT(dt)
ψψ(s,t)=1B(t)E[U∣S=s,T=t]B∫T−1(B)UdP=E[1B(T)U]=E[1B(T)E[U∣S,T]]=E[ψ(S,T)]=∫R∫Rψ(s,t)PS(ds∣T=t)PT(dt)=∫Bφ(t)PT(dt)
φ(t)=∫RE[U∣T=t,S=s]PS(ds∣T=t).
Bétait arbitraire, nous concluons que .
φ(t)=E[U∣T=t]
Maintenant, laissez et utilisez avec , où et , . Ensuite, nous notons que
par définition de l'espérance conditionnelle et donc par on a
A∈B(R)(∗)U=ψ(X,Z)ψ(x,z)=1g−1(A)(x,z)S=ZT=X
E[U∣X=x,Z=z]=E[ψ(X,Y)∣X=x,Z=z]=ψ(x,z)
(∗)P(g(X,Z)∈A∣X=x)=E[U∣X=x]=∫Rψ(x,z)PZ(dz∣X=x)=P(g(x,Z)∈A∣X=x).