Le problème
Cette chaîne de Markov a trois états, distingués selon que le ver est à ou espaces de Soit la variable aléatoire donnant le nombre de pas que le ver prendra pour atteindre partir de l'état Leurs fonctions de génération de probabilités sont un moyen algébrique pratique pour coder les probabilités de ces variables. Il n'est pas nécessaire de s'inquiéter de problèmes analytiques comme la convergence: il suffit de les considérer comme des séries de puissance formelles dans un symbole donné par1 , 20, 1,2X i C i ∈ { 0 , 1 , 2 } . tC.XiCi∈{0,1,2}.t
fi(t)=Pr(Xi=0)+Pr(Xi=1)t1+Pr(Xi=2)t2+⋯+Pr(Xi=n)tn+⋯
Puisque il est trivial que Nous devons trouverPr(X0=0)=1,f0(t)=1.f2.
Analyse et solution
De l' état la vis sans fin a des chances égales de de déplacement de retour à l' état ou atteignant . La prise en compte de cette étape ajoute à toutes les puissances de , ce qui revient à multiplier le pgf par , donnant1,1/22C1tt
f1=12t(f2+f0).
De même, à partir de l'état le ver a des chances égales de rester dans l'état ou d'atteindre l'état où221,
f2=12t(f2+f1).
L'apparition de suggère que notre travail sera facilité en introduisant la variable donnantt/2x=t/2,
f1(x)=x(f2(x)+f0(x));f2(x)=x(f2(x)+f1(x)).
La substitution du premier au second et le rappel de donnef0=1
f2(x)=x(f2(x)+x(f2(x)+1))(*)
dont la solution unique est
f2(x)=x21−x−x2.(**)
J'ai mis en évidence l'équation pour souligner sa simplicité de base et sa similitude formelle avec l'équation que nous obtiendrions en analysant uniquement les valeurs attendues en effet, pour la même quantité de travail qu'il faut pour trouver ce numéro, nous obtenons la distribution entière.(∗)E[Xi]:
Implications et simplification
De manière équivalente, lorsque est écrit terme par terme et que les puissances de sont appariées, il affirme que pour(∗)tn≥4,
2nPr(X2=n)=2n−1Pr(X2=n−1)+2n−2Pr(X2=n−2).
Ceci est la récurrence de la célèbre séquence de nombres de Fibonacci
(Fn)=(1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,89,144,…)
(indexé de ). La solution correspondant est cette séquence décalée de deux endroits (car il n'y a aucune probabilité que ou et il soit facile de vérifier que ).n=0(∗∗)X2=0X2=122Pr(X2=2)=1=23Pr(X2=3)
par conséquent
Pr(X2=n)=2−n−2Fn−2.
Plus précisement,
f2(t)=2−2F0t2+2−3F1t3+2−4F2t4+⋯=14t2+18t3+216t4+332t5+564t6+8128t7+13256t8+⋯.
L'espérance de est facilement trouvée en évaluant la dérivée et en substituant car (en différenciant les puissances de terme par terme) cela donne la formuleX2f′t=1,t
f′(1)=Pr(X2=0)(0)+Pr(X2=1)(1)10+⋯+Pr(X2=n)(n)1n−1+⋯
qui, comme la somme des probabilités multipliée par les valeurs de est précisément la définition de Prendre la dérivée en utilisant produit une formule simple pour l'attente.X2,E[X2].(∗∗)
Quelques brefs commentaires
En développant en fractions partielles, peut être écrit comme la somme de deux séries géométriques. Cela montre immédiatement que les probabilités diminueront exponentiellement. Il fournit également une forme fermée pour les probabilités de queue En utilisant cela, nous pouvons rapidement calculer que est un peu moins de(∗∗)f2Pr(X2=n)Pr(X2>n).Pr(X2≥100)10−9.
Enfin, ces formules impliquent le nombre d' or Ce nombre est la longueur d'un accord d'un pentagone régulier (du côté de l'unité), donnant une connexion frappante entre une chaîne de Markov purement combinatoire sur le pentagone (qui "ne sait rien" de la géométrie euclidienne) et la géométrie d'un pentagone régulier dans le Plan euclidien.ϕ=(1+5–√)/2.