Dans le domaine de l’économie (je pense), nous avons ARIMA et GARCH pour les séries chronologiques régulièrement espacées et Poisson, Hawkes pour la modélisation des processus ponctuels; qu’en est-il des tentatives de modélisation de séries chronologiques irrégulièrement espacées - existe-t-il (au moins) des pratiques communes? ?
(Si vous avez des connaissances dans ce sujet, vous pouvez également développer l' article du wiki correspondant .)
Edition (sur les valeurs manquantes et les séries temporelles irrégulières):
Répondez au commentaire de @Lucas Reis. Si les espaces entre les mesures ou les variables de réalisation sont espacés en raison (par exemple) d’un processus de Poisson, il n’ya pas beaucoup de place pour ce type de régularisation, mais il existe une procédure simple: t(i)
le ième indice de temps de la variable x (le ième temps de réalisation x), définissons ensuite les espaces entre les temps de mesure sous forme de g(i)=t(i)-t(i-1)
, puis nous discrétisons en g(i)
utilisant constante c
, dg(i)=floor(g(i)/c
et créons une nouvelle série temporelle avec le nombre de valeurs vierges entre les anciennes observations de la série temporelle originale i
et i+1
égale à dg (i), mais le problème est que cela procédure peut facilement produire des séries chronologiques avec un nombre de données manquantes beaucoup plus grand que le nombre d'observations, de sorte que l'estimation raisonnable des valeurs des observations manquantes pourrait être impossible et trop grandec
supprimer "structure temporelle / dépendance temporelle, etc." problème analysé (le cas extrême est donné en prenant c>=max(floor(g(i)/c))
qui efface simplement des séries temporelles irrégulièrement espacées en
Edition2 (juste pour le plaisir): Image tenant compte des valeurs manquantes dans des séries temporelles irrégulièrement espacées ou même dans le cas d'un processus ponctuel.
t(i)
- le temps, x[t(i)],x[t(i+1)],x[t(i+2)]...
et t(j+1)-t(j)
n'est pas constant. Les données sont collectées de manière distribuée ou asynchrone.