Je sais que pour la variable continue .
Mais je ne peux pas visualiser que si , il y a un nombre infini de x possibles . Et aussi pourquoi leurs probabilités deviennent-elles infiniment petites?
Je sais que pour la variable continue .
Mais je ne peux pas visualiser que si , il y a un nombre infini de x possibles . Et aussi pourquoi leurs probabilités deviennent-elles infiniment petites?
Réponses:
Les probabilités sont des modèles pour les fréquences relatives des observations. Si un événement est observé qu'il ya eu N A fois sur N essais, sa fréquence relative est la fréquence relative de ( A ) = N A et on pense généralement que la valeur numérique du rapport ci-dessus est une approximation proche deP(A)lorsqueNest "grand"où ce que l'on entend par "grand" est préférable de laisser à l'imagination (et la crédulité) du lecteur .
Or, il a été observé que si notre modèle de est celui d'une variable aléatoire continue, alors les échantillons de X { x 1 , x 2 , … , x N } sont N nombres distincts. Ainsi, la fréquence relative d'un nombre spécifique x (ou, plus pédantiquement, l'événement { X = x } ) est soit 1 si l'un desxia la valeurx, ou0 si tous lesxisont différents dex. Si un lecteur plus sceptique recueilleNéchantillonssupplémentaires , la fréquence relative de l'événement{X=x} est soit1 ou continue de profiter de la valeur0 . Ainsi, on est tenté de deviner queP{X=x}doit recevoir la valeur0car c'est une bonne approximation de la fréquence relative observée.
Remarque: l'explication ci-dessus est (généralement) satisfaisante pour les ingénieurs et autres intéressés par l'application des probabilités et des statistiques (c'est-à-dire ceux qui croient que les axiomes de probabilité ont été choisis de manière à faire de la théorie un bon modèle de réalité), mais totalement insatisfaisant à beaucoup d'autres. Il est également possible d'aborder votre question d'un point de vue purement mathématique ou statistique et de prouver que doit avoir la valeur 0 chaque fois que X est une variable aléatoire continue via des déductions logiques des axiomes de probabilité, et sans aucune référence à la fréquence relative ou aux observations physiques, etc.