Un minimum n'existe pas. Cependant, un infimum fait. Il résulte du fait que
Le supremum de la variance des distributions unimodales définies sur [ 0 , 1 ] avoir méchant μ est μ ( 2 - 3 μ ) / 3 (0 ≤ um ≤ une / deux) ou ( 1 - μ ) ( 3 μ - 1 ) / 3 (1 / 2 ≤ um ≤ 1).
Le supremum est en fait atteint par une distribution qui - bien qu'elle n'ait pas de fonction de densité - peut encore (dans un sens généralisé) être considérée comme "unimodale"; il aura un atome0 (quand μ < une / deux) ou un atome 1 (quand μ > une / deux) mais sinon être uniforme.
Je vais esquisser l'argument. La question nous demande d'optimiser une fonction linéaire
LX2: D [ 0 , 1 ] → R
soumis à diverses contraintes d’égalité et d’inégalité, où D [ 0 , 1 ] est l'ensemble des mesures (signées) sur l'intervalle [ 0 , 1 ]. Pour différenciableF: [ 0 , 1 ] → R et g: [ 0 , 1 ] → R toute fonction continue, définir
Lg[ F] =∫10g( x ) dF( x ) ,
et étendre L à tous D [ 0 , 1 ] par continuité.
Les contraintes d'égalité sont
L1[ F] = 1
et
LX[ F] = μ .
Les contraintes d'inégalité sont que
F( x ) ≥ 0
et il existe λ ∈ [ 0 , 1 ] (un "mode") tel que pour tous 0 ≤ x ≤ y≤ λ et tout λ ≤ y≤ x ≤ 1,
F( x ) ≤ f( y) .
Ces contraintes déterminent un domaine convexeX⊂ D [ 0 , 1 ] par-dessus lequel LX2 doit être optimisé.
Comme pour tout programme linéaire dans un espace de dimension finie, les extrêmes de Lg sera atteint aux sommets de X. Ce sont évidemment les mesures, absolument continues par rapport à la mesure de Lebesgue, qui sont constantes par morceaux , parce que les sommets sont là où presque toutes les inégalités deviennent des égalités: et la plupart de ces inégalités sont associées à l'unimodalité deF (comportement de queue non croissant).
Afin de satisfaire les deux contraintes d'égalité, nous devons faire une seule coupure dans le graphique de f, disons à un certain nombre 0<λ<1. Laisser la valeur constante sur l'intervalle[0,λ) être a et la valeur constante sur (λ,1] être b, un calcul simple basé sur les contraintes d'égalité donne
a=1+λ−2μλ, b=2μ−λ1−λ.

Cette figure dit tout: elle représente graphiquement la fonction de distribution localement constante de la moyenneμ avec au plus une seule pause à λ. (L'intrigue def(λ,μ) pour μ>1/2 ressemble à l'inversion de celui-ci.)
La valeur de Lx2 à de telles mesures (que je désignerai f(λ,μ), la densité d'une distribution F(λ,μ)) est tout aussi facilement calculé
Lx2[f(λ,μ)]=13(2μ+(2μ−1)λ).
Cette expression est linéaire dansλ, ce qui implique qu'il est maximisé à 0 (quand μ<1/2), 1 (quand μ>1/2), ou à n'importe quelle valeur (lorsque μ=1/2). Cependant, sauf lorsqueμ=1/2, les valeurs limites des mesures f(λ,μ) ne sont plus continus: la distribution correspondante F=limλ→0F(λ,μ) ou F=limλ→1F(λ,μ) a une discontinuité de saut à 0 ou 1 (mais pas les deux).

Cette figure représente la valeur optimale F pour une moyenne de μ≈2/5.
Quoi qu'il en soit, la valeur optimale est
σ2μ=supλLx2[f(λ,μ)]=13μ(2−3μ).
Par conséquent, l'infimum de μ(1−μ)/σ2 pour 0≤μ<1/2 est
μ(1−μ)/σ2μ=3−3μ2−3μ,
avec une expression comparable lorsque 1/2<μ≤1 (obtenu en remplaçant μ par 1−μ).

Ce chiffre trace le supremum μ(1−μ)/σ2μ contre μ.