Ok, je vais essayer ça. Les informations critiques sont les bienvenues.
À la page 192, Gibbons et Chakraborti (1992), citant Hodges, 1958, commencent par un CDF à petit échantillon (exact?) Pour le test bilatéral (j'échange leur notation et pour et , respectivement):m,ndn1,n2x
P(Dn1,n2≥x)=1−P(Dn1,n2≤x)=1−A(n1,n2)(n1+n2n1)
Où est produit par une énumération de chemins (augmentant de façon monotone dans et ) de l'origine au point travers un graphique avec — en remplaçant par —les valeurs de l' axe x et de l' axe y sont et . Les chemins doivent en outre obéir à la contrainte de rester à l'intérieur des limites (où est la valeur de la statistique de test de Kolmogorov-Smirnov):A(n1,n2)n1n2(n1,n2)Sm(x)Fn1(x)n1F1(x)n2F2(x)x
n2n1±(n1+n2)x(n1+n2n1)
Ci-dessous, leur image Figure 3.2 fournit un exemple pour , avec 12 de ces chemins:A(3,4)
Gibbons et Chakaborti continuent en disant que la valeur unilatérale est obtenue en utilisant cette même méthode graphique, mais avec seulement la borne inférieure pour , et seulement la partie supérieure pour .pD+n1,n2D−n1,n2
Ces approches à petit échantillon impliquent des algorithmes d'énumération de chemin et / ou des relations de récurrence, ce qui rend sans aucun doute souhaitable des calculs asymptotiques. Gibbons et Chakraborti notent également les CDF limites lorsque et approchent de l'infini, de :n1n2Dn1,n2
limn1,n2→∞P(n1n2n1+n2−−−−−−−√Dn1,n2≤x)=1−2∑i=1∞(−1)i−1e−2i2x2
Et ils donnent le CDF limite de (ou ) comme:D+n1,n2D−n1,n2
limn1,n2→∞P(n1n2n1+n2−−−−−−−√D+n1,n2≤x)=1−e−2x2
Parce que et sont strictement non négatifs, le CDF ne peut prendre que des valeurs non nulles sur :D+D−[0,∞)
Références
Gibbons, JD et Chakraborti, S. (1992). Inférence statistique non paramétrique . Marcel Decker, Inc., 3e édition, édition révisée et augmentée.
Hodges, JL (1958). La probabilité de signification du test à deux échantillons de Smirnov. Arkiv för matematik . 3 (5): 469--486.