L'une des règles de la FIDE stipule que si le drapeau de quelqu'un tombe, et qu'il existe une séquence légale de mouvements telle que l'autre joueur accouple le premier joueur , alors la position est une victoire pour le deuxième joueur. Cela m'a amené à me demander si cette règle peut théoriquement être difficile à appliquer pour les arbitres, c'est-à-dire s'il est possible que l'arbitre ne puisse pas (facilement) décider si une partie peut être gagnée pour un côté ou non:
Existe-t-il des puzzles d'échecs "durs" où l'objectif est de trouver une séquence de mouvements de n'importe quelle longueur, avec l'aide des deux côtés, de sorte qu'un côté gagne? Donc, essentiellement des puzzles de compagnon, mais sans spécifier le nombre de mouvements jusqu'à ce que le compagnon? Ou est-il toujours assez simple de déterminer si, à partir d'une position donnée, il y a une séquence de mouvements menant à l'accouplement?
Peut-être qu'une façon de rendre le travail de l'arbitre difficile est de ne pas suivre les mouvements précédents, puis de présenter une position à l'arbitre (lorsque le drapeau tombe) où il est difficile de prouver si un côté peut légalement roquer ou non, ou prendre en passant ou non, etc. - si de telles positions ne peuvent être gagnées que lorsque disons en passant est disponible, l'arbitre (ou le deuxième joueur réclamant une victoire à temps, plutôt qu'un match nul) devrait construire un jeu d'épreuves pour montrer que la partie peut en effet être gagnée.
En tout cas: je ne peux pas donner d'exemples qui sont de durs compagnons de toute longueur, mais je ne suis en aucun cas un expert en ce qui concerne les compagnons. Toutes les pensées ou commentaires sont appréciés!
Edit : Cette question ne porte pas sur le matériel d'accouplement suffisant, mais sur l'existence de positions pour lesquelles il est difficile de décider si une séquence d'accouplement existe. Cela concerne davantage le territoire des partenaires d'aide artificielle / des problèmes de jeu d'épreuve que les situations d'ajournement simples et réalistes pour les arbitres.