… Pourquoi les navetteurs masculins sont-ils plus nombreux que les femmes?

Je n'ai pas pu trouver de statistiques utilisables, mais d'après mon observation des navetteurs cyclistes, les hommes semblent dépasser le nombre de femmes d'environ 10: 1

C'est dans une ville relativement favorable aux vélos, au moins selon les normes nord-américaines (Vancouver Canada). Dans mon bureau, un immeuble mixte de bureaux du centre-ville, il n'y a pas de femmes.

Il y a beaucoup plus de femmes à vélo dans les clubs de route le week-end et beaucoup de femmes se sont engagées dans des groupes de cyclistes et à promouvoir le cyclisme.

Y a-t-il une raison pour laquelle les femmes ne se déplacent pas à vélo et y a-t-il quelque chose qui puisse être fait pour augmenter les chiffres?

(reformulé pour en faire une question plus utile - plutôt qu'une chose du vendredi après-midi)

Curieusement, le compte à rebours bien annoncé ici ne semble pas être aussi libre avec ses résultats.

J'ai fait un peu de décompte en 2001 et j'ai eu environ 20% de femmes cyclistes. Moins sur les grands axes, plus sur les pistes cyclables. 1300 cyclistes sur 3 mois dans un périmètre (car les statistiques officielles ne comptaient que 5 points d'entrée majeurs). Fait intéressant, malgré la loi sur le casque obligatoire, 74% seulement portaient un casque (je ne considérais pas le "casque sur le guidon" comme un casque).

À Melbourne, il y a des statistiques ici , les pdfs «vélo pour travailler» et «vélo à Melbourne». Le premier graphique montre environ 25% de femmes, et dans les banlieues extérieures pour la plupart de moins de 20 ans, avec un pic plus large dans les banlieues intérieures (intéressant, moins d'enfants d'âge scolaire que les banlieues) et un deuxième graphique montrant que le pourcentage de cyclisme augmente si fait la proportion de femmes cyclistes - les femmes sont plus susceptibles de rouler si beaucoup d'hommes le font.

Fait intéressant, Scientific American a publié un article à ce sujet il y a quelques années. Selon l'article, qui cite quelques études, les femmes sont moins à l'aise avec le vélo de route que les hommes, en particulier dans les zones à circulation automobile. Comme la plupart des routes sont principalement destinées à l'automobile, les femmes ont tendance à trouver des itinéraires qui évitent ces routes, ce qui rend les déplacements un peu plus difficiles pour elles. Les études menées ici en Amérique montrent un ratio de 2: 1 hommes / femmes cyclistes.

«Si vous voulez savoir si un environnement urbain prend en charge le vélo, vous pouvez oublier tous les« indices de bicyclabilité »détaillés - il suffit de mesurer la proportion de cyclistes qui sont des femmes», explique Jan Garrard, maître de conférences à l'Université Deakin de Melbourne, Australie. , et auteur de plusieurs études sur le vélo et les différences de genre.

Les femmes sont considérées comme une «espèce indicatrice» pour les villes cyclables pour plusieurs raisons. Premièrement, des études dans des disciplines aussi disparates que la criminologie et l'éducation des enfants ont montré que les femmes sont plus opposées au risque que les hommes. Dans le domaine du cyclisme, cette aversion pour le risque se traduit par une demande accrue d'infrastructures cyclables sûres comme condition préalable à la conduite. Les femmes font également la plupart des services de garde d'enfants et des achats ménagers, ce qui signifie que ces itinéraires à vélo doivent être organisés autour de destinations urbaines pratiques pour faire la différence.

pourquoi presque tous les cyclistes sont des techniciens masculins

Pas seulement les navetteurs, mais les cyclistes en général: plus de cyclistes sont des hommes.

La source:

• http://www.cycling-inform.com/positioning-and-bike-fit/222-special-considerations-when-fitting-woman-to-bicycles-sensitive-issues-part-1
• http://www.cycling-inform.com/positioning-and-bike-fit/223-special-considerations-when-fitting-woman-to-bicycles-sensitive-issues-part-2

Les liens ci-dessus blâment l'ajustement du vélo, pour un, disant que le vélo typique est plus adapté pour un homme.

Eh bien, je fais du vélo aux Pays-Bas, je travaille dans l'informatique, je suis un technicien et tous mes collèges sont des techniciens, mais je suis le seul à faire du vélo, ce qui est exaspérant quand on vit dans un pays construit pour le vélo.

En regardant le trajet de 13 km au travail, il y a beaucoup de navetteurs le matin, (il y a des embouteillages au niveau des feux), je dirais que la répartition femme / homme est de 50/50. Même en hiver, je vois autant d'hommes que de femmes.

La San Francisco Bicycle Coalition a fait une enquête dans son domaine pour savoir pourquoi plus de femmes ne font pas de vélo . Faites défiler vers le bas pour trouver une liste de préoccupations liées à des données d'enquête spécifiques. L'une des raisons était que "37% des personnes interrogées n'étaient pas d'accord pour dire qu'il était possible de transporter des enfants ou des courses à vélo".

(modifier: lien mort, modifier dans l'article via archive.org)

Pourquoi les femmes ne sont-elles pas sur roues?

L'enquête dit: "Voitures!"

par Mary Brown

La principale raison pour laquelle les femmes ne font pas de vélo est ... LES VOITURES! Non pas que les voitures soient tellement plus faciles, mais plutôt, les femmes ont dit qu'elles ne se sentent pas en sécurité de partager la route avec elles. 80% des répondants ne l'ont pas fait, selon notre récent sondage sur les femmes à faible revenu et le vélo. De plus, 63% ont déclaré qu'ils envisageraient de faire du vélo s'il y avait des pistes cyclables dans leur quartier.

L'enquête a révélé que seulement 12% des femmes à faible revenu possédaient une voiture, mais 34% possédaient un vélo! Alors que 35% ont déclaré que le trajet serait trop loin à vélo, plus de 65% vivaient en fait à distance de conduite (10 miles ou moins aller-retour). Il est intéressant de noter que bien que l'enquête de 39 questions ait été élaborée principalement pour découvrir les obstacles des femmes à faible revenu au vélo, elle a révélé plus de similitudes avec les femmes de tous revenus que de différences.

Nous avons toujours fait des suppositions assez aléatoires sur la raison pour laquelle si peu de femmes faisaient du vélo, donc avec le soutien d'une subvention de la Fondation des femmes et l'aide de David Binder Research, nous avons développé la toute première étude de recherche sur les transports axée sur les femmes et les vélos. Les volontaires de la CFB ont interrogé 416 femmes au hasard pour cette enquête d'interception sur le terrain dans le but de découvrir pourquoi les femmes font du vélo à des taux bien inférieurs à ceux des hommes.

Les vélos sont, potentiellement, un choix de transport efficace et économique pour toutes les personnes, indépendamment de la classe, de la race, du revenu et du sexe. Cependant, la réalité est que les cyclistes dans les rues de San Francisco sont principalement des hommes blancs dans la vingtaine ou la quarantaine. Environ 4% des San Franciscains (environ 30 000 personnes) se rendent au travail et font des courses à vélo, et de ce nombre, moins de 25% sont des femmes.

Nous voulons que davantage de femmes utilisent le vélo comme un moyen de transport pratique et rentable et découvrent à quel point il peut être amusant et facile de faire du vélo. Avec le lancement de la prochaine mise à jour du plan de vélo dans une semaine à peine, nous sommes dans une position privilégiée pour défendre les besoins de transport des femmes à faible revenu. Les résultats de cette enquête constituent désormais la base de notre planification stratégique et de nos efforts pour façonner les politiques publiques.

La partie la plus excitante des résultats de l'enquête est les similitudes entre les principaux obstacles au cyclisme des répondants et les objectifs programmatiques actuels de la CFB et la myriade d'opportunités que cela présente. Nous travaillons activement à créer un réseau de vélos qui relierait tous les quartiers et les centres commerciaux via un espace protégé pour les vélos, séparé de la plupart des voitures. Notre objectif de combiner des pistes cyclables, des pistes cyclables et des rues lentes et calmes permettrait aux femmes de surmonter leur peur de partager la route avec des voitures.

La CFB a récemment demandé une subvention supplémentaire à la Fondation des femmes pour développer une campagne visant à accroître l'utilisation du vélo chez les femmes à faible revenu. Un élément de cette campagne serait l'élaboration d'un livret d'information répondant aux préoccupations pratiques des femmes concernant le cyclisme. Ces brochures seraient basées directement sur les informations recueillies lors de l'enquête. Tel que,

• où acheter des vélos à bas prix (63% des répondants ont déclaré qu'ils envisageraient de rouler s'ils avaient accès à un vélo gratuit ou à bas prix);
• comment transporter des enfants ou des courses à vélo (37% des répondants n'étaient pas d'accord pour dire qu'il était possible de transporter des enfants ou des courses à vélo),
• comment utiliser les supports à vélos disponibles sur tous les bus régionaux (35% des répondants ont déclaré qu'ils se rendaient trop loin au travail pour utiliser un vélo);
• comment verrouiller correctement un vélo et éviter le vol (62% des personnes interrogées ont déclaré avoir l'impression que les vélos sont fréquemment volés),
• où trouver des cartes de vélo qui montrent les meilleures rues pour les vélos (66% des répondants ont dit qu'il était trop difficile de faire du vélo à cause des collines);
• comment éviter de transpirer ou de se salir (38% pensaient qu'ils n'avaient pas les bons vêtements pour faire du vélo et 28% pensaient que le vélo les rendrait trop en sueur);
• quels types de vêtements de pluie protègent le mieux pour une conduite par mauvais temps (34% bien que le temps soit trop imprévisible pour y monter).
• L'enquête s'est concentrée sur les quartiers Mission, Bayview et Western Addition. Pour certaines données connexes, un sondage Gallup a révélé que 53% des femmes américaines font l'épicerie, contre 16% des maris et 54% des femmes s'occupent quotidiennement des enfants, contre 9% pour les maris. Ainsi, les femmes sont plus susceptibles d'être responsables de plus de transport de marchandises, à savoir les enfants et l'épicerie.

Ce qui a vraiment fait la différence pour ma femme, c'est d'acheter un Yuba Mundo électrique. Nous l'avons acheté en ligne au Cycle 9, qui appartient à deux femmes et est spécialisé dans les vélos cargo électriques pour le transport, et fait un bon travail de vente et d'assistance en ligne.

Ma femme est plus susceptible d'être celle qui déposera un enfant à la garderie sur le chemin du travail ou qui ira au marché fermier pour acheter une charge d'épicerie avec au moins un enfant.

Avec un vélo ordinaire, ces choses ne pouvaient tout simplement pas être accomplies avec un temps, un effort et une sueur raisonnables. J'ai beaucoup de photos annotées de notre Electric Yuba Mundo sur

Flickr, et ont également écrit à ce sujet un certain nombre de messages sur mon blog .

Je soupçonne qu'il y a beaucoup de facteurs. Un facteur que je sais de pourquoi ma femme et ses amis ne roulent pas: ça fait vraiment mal à leurs entrejambes! Évidemment, toutes les femmes n'ont pas ce problème car je vois beaucoup de femmes faire du vélo.

Les autres raisons pour lesquelles je ne peux que spéculer: les rôles de genre exigeant que les femmes soient plus rassemblées et cela nécessite plus d'infrastructures que celles disponibles sur la plupart des lieux de travail. Évidemment, en regardant des photos de villes européennes, cela peut aussi être surmonté, même si c'est une vraie raison.

Pour ajouter, basé sur le commentaire de mgb. Portland a une culture cycliste active et politiquement impliquée. La culture cycliste est à l'origine de nombreuses améliorations des infrastructures dans cette ville. C'est donc de bas en haut plutôt que de haut en bas. Ce n'est pas parce qu'une ville crée des pistes cyclables, etc. que les gens commenceront à faire du vélo.

Je pense que cela a beaucoup à voir avec les infrastructures dans une ville donnée. J'habite à Portland, en Oregon, où notre infrastructure cyclable est bonne et s'améliore. Il y a beaucoup de femmes sur mes trajets quotidiens tout au long de l'année. Beaucoup a à voir avec les pistes cyclables, les boulevards à vélo, les hébergements de transit pour les pistes cyclables et les sentiers pédestres, le marquage des voies et les relations publiques massives.

Je peux fournir plus d'informations plus tard, mais une friandise de Wikipedia .

Pour répondre à la dernière version modifiée de cette question:

C'est purement anecdotique, mais un certain nombre de femmes m'ont dit qu'elles aimeraient faire la navette à vélo mais ne sont pas à l'aise de le faire sans casque et n'étaient pas non plus disposées à se coiffer avec un casque.

Mis à part le débat sur le casque , il semble qu'une campagne de relations publiques mettant l'accent sur le fait que le vélo est plus sûr que la conduite serait un bon point de départ.

En guise de pouce, je dirais que le ratio pour les navetteurs (au travail) est peut-être de 8: 1 ici dans la région de Rochester MN. En termes de distance récréative (plus de 1 mile, disons) cyclistes que vous verriez un samedi, le rapport est probablement de 4: 1.

Pourquoi plus de navetteurs féminins? Tout d'abord, un bon nombre de mamans au foyer ici, donc le ratio de travailleurs est probablement d'environ 2: 1 dans l'ensemble. Au-delà de cela, je soupçonne que les femmes (dans notre culture) sont moins susceptibles de penser / de vouloir combiner une activité sportive avec une navette. Et puis il y a toute la coiffure (ce qui, je suppose, est un code pour le fait que les femmes ont tendance à avoir besoin de s'habiller davantage pour le travail, en particulier dans une communauté de cols blancs). Les grandes entreprises de la ville fournissent des zones de douche / casier, mais seulement suffisantes, et elles sont rares dans les petites entreprises.

Les navettes à l'épicerie, etc., sont relativement faibles dans l'ensemble, car la zone est configurée comme une communauté automobile, avec seulement peut-être trois épiceries de quartier et les principaux quadrants de la ville sans épicerie.

(J'ajouterai que la région de Rochester est extrêmement sûre selon la plupart des normes, donc la sécurité n'est probablement pas un facteur majeur.)

Spéculation ... Peur de tomber en panne. Pour la plupart des cyclistes masculins, un appartement ou autre n'est pas une tragédie; vous venez de le réparer. Pour les femmes, qui ne sont peut-être pas aussi "mécaniquement" ept, il y a aussi le souci d'être seules et isolées en faisant le correctif ...

Je me rends de notre garage bon marché à la gare. C'est seulement à environ un mile environ ... Je suis un officier de police en uniforme "vélo", donc je ne suis pas inquiet d'être harcelé ou même attaqué pendant mon trajet de 6 heures. Ce n'est pas le cas avec beaucoup de femmes, j'imagine. Nous voyons beaucoup de femmes monter seules pendant la journée; coureurs de fitness ... Pas de grande crainte sur les routes très fréquentées.